Un peu d’histoire…
La photo de ces 18 lacets de Montvernier a trôné dans les livres de géographie pendant une cinquantaine d’années. Pas moins de 6 ans de travaux, entre 1928 et 1934, ont été nécessaires pour venir à bout de près de 400 m de dénivelé pour relier la vallée de l’Arc au village de Montvernier.
Ambiance
Les petits lacets, empilés les uns sur les autres, accrochés à la montagne, constituent une route des plus spectaculaires de Savoie, et un véritable défi de plaisir pour les cyclosportifs. Une fois arrivés au sommet, vous pourrez notamment observer l’Aura, plus grande oeuvre d’art collective du monde, à Sainte-Marie-de-Cuines.
Un peu plus loin, Montvernier mérite un petit détour pour son cachet de village mauriennais regroupé autour son église. La route continue à s’élever et traverse plusieurs hameaux dont le Noirey et Montbrunal. Chaque hameau possède sa chapelle, son four banal, son ancien lavoir.
Encore un petit kilomètre sur la route du col du Chaussy, et c’est à pied qu’on accède au hameau d’alpage du Fragnin, joliment nommé par les habitants : le « Paradis ». Ce surnom n’est pas usurpé.
Un ensoleillement exceptionnel, un immense panorama qui s’étend des aiguilles d’Arves au Col de la Madeleine en passant par les massifs de Belledonne et de la Lauzière et plusieurs chalets d’alpage en font un lieu idyllique. Le silence y règne en maître. En été, le soleil ou l’ombre, quelques fontaines pour se rafraîchir, le chant des oiseaux et des sauterelles accompagnent le promeneur.
Un peu d’histoire…
La photo de ces 18 lacets de Montvernier a trôné dans les livres de géographie pendant une cinquantaine d’années. Pas moins de 6 ans de travaux, entre 1928 et 1934, ont été nécessaires pour venir à bout de près de 400 m de dénivelé pour relier la vallée de l’Arc au village de Montvernier.
Ambiance
Les petits lacets, empilés les uns sur les autres, accrochés à la montagne, constituent une route des plus spectaculaires de Savoie, et un véritable défi de plaisir pour les cyclosportifs. Une fois arrivés au sommet, vous pourrez notamment observer l’Aura, plus grande oeuvre d’art collective du monde, à Sainte-Marie-de-Cuines.
Un peu plus loin, Montvernier mérite un petit détour pour son cachet de village mauriennais regroupé autour son église. La route continue à s’élever et traverse plusieurs hameaux dont le Noirey et Montbrunal. Chaque hameau possède sa chapelle, son four banal, son ancien lavoir.
Encore un petit kilomètre sur la route du col du Chaussy, et c’est à pied qu’on accède au hameau d’alpage du Fragnin, joliment nommé par les habitants : le « Paradis ». Ce surnom n’est pas usurpé.
Un ensoleillement exceptionnel, un immense panorama qui s’étend des aiguilles d’Arves au Col de la Madeleine en passant par les massifs de Belledonne et de la Lauzière et plusieurs chalets d’alpage en font un lieu idyllique. Le silence y règne en maître. En été, le soleil ou l’ombre, quelques fontaines pour se rafraîchir, le chant des oiseaux et des sauterelles accompagnent le promeneur.
Séquence de transition en descendant dans la vallée de la Maurienne, plus austère, mais toujours imprégnée de la magie de la montagne tout autour.
Longue vallée s’étendant sur environ 120 kilomètres. Elle suit le cours de l’Arc, rivière qui prend sa source au pied de l’Iseran.
Saint Jean de Maurienne capitale historique et économique de la vallée. Destination riche pour son patrimoine, avec en particulier son musée OPINEL. Célèbre couteau savoyard créé en 1980 par Joseph Opinel.
Saint Michel de Maurienne, berceau de l’industrie de l’Aluminium en France. Son développement industriel remonte à la fin du XIX ème siècle grâce à ses ressources abondantes et notamment l’énergie hydroélectrique. Un musée interactif invite à la rencontre de l’histoire de cette industrie.
Après avoir gravi le col du télégraphe et parcouru quelques kilomètres de descente, vous découvrirez le charmant village de Valloire.
Au pied du célèbre col du Galibier Valloire, allie un cadre montagnard idyllique à des infrastructures modernes.
Valloire offre une multitude d’activités, l’hiver pour le ski, au sein du domaine du Galibier Thabor, et l’été pour ses multiples activités de plein air sur les massifs environnants.
Valloire est réputée pour son concours international de sculptures sur glace et neige.
Départ pour le célébrissime Col du Galibier, 3 ème plus haut col français (route revêtue totalement depuis 1938) avec ses 2642 m, emprunté par le tour de France cycliste depuis 1911. Le plus fréquenté chaque été par les cyclistes de tous pays (après le Mont Ventoux et l’Alpe d’Huez).
Descente vers le Col du Lautaret. Col mythique par sa vue sur les glaciers de la Meije, son jardin alpin, implanté depuis plus de 100 ans, reçoit chaque année la visite de plus de 30 000 visiteurs. Plus de 2000 plantes de tous les massifs montagneux de la planète TERRE y sont présentées et étudiées.
Après avoir gravi le col du télégraphe et parcouru quelques kilomètres de descente, vous découvrirez le charmant village de Valloire.
Au pied du célèbre col du Galibier Valloire, allie un cadre montagnard idyllique à des infrastructures modernes.
Valloire offre une multitude d’activités, l’hiver pour le ski, au sein du domaine du Galibier Thabor, et l’été pour ses multiples activités de plein air sur les massifs environnants.
Valloire est réputée pour son concours international de sculptures sur glace et neige.
Départ pour le célébrissime Col du Galibier, 3 ème plus haut col français (route revêtue totalement depuis 1938) avec ses 2642 m, emprunté par le tour de France cycliste depuis 1911. Le plus fréquenté chaque été par les cyclistes de tous pays (après le Mont Ventoux et l’Alpe d’Huez).
Descente vers le Col du Lautaret. Col mythique par sa vue sur les glaciers de la Meije, son jardin alpin, implanté depuis plus de 100 ans, reçoit chaque année la visite de plus de 30 000 visiteurs. Plus de 2000 plantes de tous les massifs montagneux de la planète TERRE y sont présentées et étudiées.
Pittoresques villages des Hautes-Alpes au coeur du massif des écrins.
Véritable magie de ces hautes montagnes à admirer tout le long de la longue descente du haut du Galibier, ou bien à gravir lors d’un séjour de randonnées pédestres ou d’alpinisme.
Vous ne pourrez pas vous lasser de porter votre regard vers la Meije sommet emblématique du massif d’Écrins qui culmine à 3984 mètres.
Villar d’Arène charmant petit village endroit idéal pour ceux qui recherchent une expérience authentique.
La Grave, village plus sportif puisqu’il attire les skieurs expérimentés du monde entier pour se lancer dans les pentes enneigées vierges sur des itinéraires freeride depuis le Dôme de la Lauze à 3568 mètres jusqu’au bas de la vallée.
Le lac du Chambon offre l’accès à la secrète vallée du Ferrand. Ce territoire au bord du parc des écrins ouvre l’accès a des sites naturels remarquables, lac des Quirlies, plateau d’Emparis et ses 3 magnifiques villages de caractère Mizoen, Clavans et Besse. Un véritable havre de nature préservée
Le col de Sarenne culminant à 1999 mètres dans le massif des grandes rousses permet de rejoindre l’Alpe d’Huez.
Emprunté 2 fois par le BRA (2019 et 2023), 2 fois par le Tour de France, 1 fois par le critérium du Dauphiné, cette route à voie étroite… et par moment à voie unique avec portions de croisements, ravira les plus audacieux et contemplatifs d’entre vous.
Le col de Sarenne (alt 1999 m) fut d’abord un col sur le sentier du tour de l’Oisans, puis un col muletier tracé en 1967 au moment ou la station de l’Alpe d’Huez engageait d’importants travaux, dont le tunnel sous le pic Blanc, à la veille d’accueillir les J.O de 1968 (10 ème jeux olympiques d’hiver de Grenoble). Le brevet de randonneur de l’Oisans cyclotouriste crée par les cyclotouristes Grenoblois en 1978 empruntât le col de Sarenne la 1ère fois en juin 1980 lors de sa seconde édition. La route n’était pas revêtue entre l’altiport de l’alpe d’Huez et le hameau des Perrons côté Clavans le haut… mais elle n’arrêta pas l’ardeur des 490 participants….
Le lac du Chambon offre l’accès à la secrète vallée du Ferrand. Ce territoire au bord du parc des écrins ouvre l’accès a des sites naturels remarquables, lac des Quirlies, plateau d’Emparis et ses 3 magnifiques villages de caractère Mizoen, Clavans et Besse. Un véritable havre de nature préservée
Le col de Sarenne culminant à 1999 mètres dans le massif des grandes rousses permet de rejoindre l’Alpe d’Huez.
Emprunté 2 fois par le BRA (2019 et 2023), 2 fois par le Tour de France, 1 fois par le critérium du Dauphiné, cette route à voie étroite… et par moment à voie unique avec portions de croisements, ravira les plus audacieux et contemplatifs d’entre vous.
Le col de Sarenne (alt 1999 m) fut d’abord un col sur le sentier du tour de l’Oisans, puis un col muletier tracé en 1967 au moment ou la station de l’Alpe d’Huez engageait d’importants travaux, dont le tunnel sous le pic Blanc, à la veille d’accueillir les J.O de 1968 (10 ème jeux olympiques d’hiver de Grenoble).
Le brevet de randonneur de l’Oisans cyclotouriste crée par les cyclotouristes Grenoblois en 1978 empruntât le col de Sarenne la 1ère fois en juin 1980 lors de sa seconde édition. La route n’était pas revêtue entre l’altiport de l’alpe d’Huez et le hameau des Perrons côté Clavans le haut… mais elle n’arrêta pas l’ardeur des 490 participants….
Itinéraire pittoresque sauvage, parfois vertigineux, connu sous le nom de « route de la Roche » entre Auris et la Garde avant de rejoindre le Bourg-d’Oisans. Elle offre des vues spectaculaires sur la vallée de la Romanche et les sommets environnants comme le Taillefer.
La route est étroite et les croisements parfois difficiles. Mais quel bonheur de les parcourir à vélo. Taillée à flanc de falaise, succession de belvédères en nid d’aigles.